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.La place du village ..

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 Le classique monument aux morts.

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"Le nom de Castrum Varaginis est cité pour la 1ère fois en 1077 dans le cartuaire* de Sainte-Marie de Correns. Celui de Varages apparut en 1192.

Varago signifiant, le gouffe, le précipice, le gaou en provençale.

Le village s’est progressivement installé sur la falaise de travertin** au pied de laquelle court une rivière."

*Registre contenant les titres de propriété revenant à une église ou un monastère..

**Le travertin est une roche calcaire sédimentaire, appelée aussi tuf calcaire, composée de calcite et d'aragonite.

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"Au 16èm S, Varages produisait une huile d’olive réputée dans toute la région.

Puis se développèrent rapidement des moulins à papier, à farine, à vernis et surtout des faïenceries.

La 1ère fut créée par moi Etienne Armand , à la fin du 17è s."  ( E. Armand)

L'enfant du pays: Le général Gassendi.

Le grand-père du Gal Gassendi a fixé la famille à Varages en se mariant avec une varoise, il a embellit la propriété qui allait devenir par la suite le Parc de l’Enclos.

JeanJacques Basilien Gassendi est né à Dignes en 1748. Durant sa carrière militaire, il se lia d’amitié avec le jeune lieutenant Bonaparte.

Devenu premier consul, Bonaparte le rappela auprès de lui alors que Gassendi vivait retiré à Varages dans sa maison qui abrite aujourd’hui le musée des faïences.

Un chêne avec des feuilles de figuiers ??

Le  figuier   a pris racine dans un creux du chêne.

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Le Patron de Varages est saint Pothin ou Photin, premier Évêque de Lyon. Sa vie, avant son arrivée en Gaule, est peu connue. On sait seulement qu'il était disciple de saint Polycarpe, évêque de Smyrne et disciple lui mème de Jean l’évangéliste.

 C’est à Lyon, alors âgé de 90 ans que Pothin fut, avec de nombreux autres chrétiens dont la jeune (sainte) Blandine, martyrisé sous le règne de Marc Aurèle, cet empereur philosophe, si loué pour sa clémence et sa grandeur d’âme à quelques milliers de morts près.  La couleur de l'Arar, dit-on, en fut changée et on l'appela Sanguone, d'où est venu le nom Saône.

 Quel rapport entre Photin et Varages. Aucun.     

  Du temps des romains on célébrait un Faune du nom de Foutin, lequel rendait les hommes audacieux et virils et les femmes ardentes.

 Sous l'ère chrétienne, à Varages Foutin(e) continuait d’être honoré. C'est au douzième siècle, , que les villageois réclamèrent un Saint Patron .

Alors, dans sa sagesse, le prieur de Montmajour attribua à Varages le patronage de Saint Pothin, peut être par homonymie. Les communaux passaient d’un satyre à un saint, mais  les hommes sont toujours  audacieux et virils et les femmes ardentes.                                                                         

 Une bombe...

des grenades.

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En l'an 1313,un sanglier fabuleux semait la terreur dans le village de varages. Bertrand de Vintimille, seigneur du lieu, réunit ses meilleurs chasseurs, dont Alcide Pellissier, pour capturer le féroce animal. Alcide Pellissier, surprit la bête, lui passa un licou et arracha ses deux énormes défenses, puis la ramena au château de Varages où il fut acclamé en héros.

Pour commémorer l'événement, Bertrand de Vintimille passa contrat avec le menuisier du lieu et lui fit reproduire l'animal en bois pour qu'il participe dorénavant à toutes les fêtes du village.

(docu: http://la-pensee.over-blog.com/article-les-totems-d-oc-le-sanglier-de-varages-73754640.htm )

6 personnes pour porter le sanglier et une 7ème pour manoeuvrer le cou qui peut s'allonger jusqu'à 1.50m.

Contrairement à la photo, les porteurs sont DANS le sanglier.

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.L’arbre de Mai est une traditionceltiqueque l’on trouve en particulier enBavièremais aussi dans divers pays européens comme la Belgique, le Luxembourg, la Suède et même certaines régions françaises( Alsace, haut var).

 Les Celtes célébraient le début de l’été en érigeant un arbre autour duquel ils dansaient pour chasser les mauvais esprits. Cette coutume s’est perpétuée, malgré l’opposition initiale de l’Église qui y voyait un rite païen célébrant la fécondité et la fenaison.. Mais comme souvent, l’Église a fini par récupérer la célébration et aujourd’hui les réjouissances s’accompagnent de cérémonies de dévotion mariale.

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( archives du Var).

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Le toit vernissé est plûtot d'origine alsacienne, il a l'avantage d'un durée très longue.

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Fontaine de la IVème Républiqueou des4 Saisons,devant la mairie, à proximité d’un tilleul bi-centenaire, avec un bassin octogonal en pierre de taille.

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Le fût est décoré de volutes. L’urne de bas-relief est composée de fleurs et de draperies.Les mascarons sont des masques humains représentant les 4 saisons.

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Le soi disant balcon phallique de la place!

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Ligures, celtes, romains, francs, l’histoire de Barjols est riche, bien détaillée sur ce site :

http://www.barjols.tanniou.com/histoire.htm

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“Au XVIIIè et XIXè siécles Barjols s’étendit.

On vit construire des passerelles enjambant le ruisseau des Écrevisses pour créer l‘esplanade de 14 000 m2 dela Rouguiére. Le recouvrement de la place fut réalisé entre1750 et 1770. Les eaux issues de la Source des Paluds, du surplus de la source « fontaine de Roubaud » et du

ruisseau des Écrevisses, s’écoulaient autrefois au centre de la place a l’air libre dans un canal. Celui-ci, aujourd’ hui souterrain, passe notamment sous la fontaine Raynoard.

Cette fontaine fut réalisée en 1906 suite a un don fait à la commune de Barjols par M.Raynoard, ancien professeur célèbre et directeur des écoles. Elle est l’œuvre du sculpteur barjolais Jules Récubert, qui jouissait à l’époque d'une certaine renommée.

La statue d’origine a disparu sous les dépôts calcaires qui la recouvrent aujourd‘hui de travertin. Le travertin,anciennement appelé «tuf», est créé par l’ accumulation de dépôts calcaires par effet de ruissellement."     ( docu in situ)